Henri de Gérin-Ricard dans son « Histoire de la Haute Vallée de l’arc » (1907) a donné des indications non vérifiables concernant des traces de l’occupation franque. En fait nous n’avons trouvé aucun vestige d’établissement « barbares ». Pendant cette période la population se raréfie mais il semble que le modèle agricole romain ait perduré. Deux tuileries romaines se transforment en centre de production de poteries domestiques. Le moulin à eau continue vraisemblablement d’être utilisé. Une réoccupation de la pente de l’oppidum protohistorique « romanisé » des Agaux est aussi probable. Les archives étant inexistantes dans cette période il est difficile de décrire le paysage rural qui devait être constitué de petites exploitations dont les paysans étaient amenés à se placer sous la protection d’un seigneur ou d’une autorité ecclésiastique.